Pour la première fois à Paris, Émil Markov et Kerana se produisent dans la pièce de Stefan Vögel « Chaque premier mercredi » !

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Une belle mais dangereuse jeune femme avec un homme respectable mais déjà sur le déclin – et déjà, ça te fait rire !
Elle n’est pas une prostituée. Il n’est pas un maniaque sexuel. Mais ils concluent un marché : « Je te paie, et toi tu me donnes ton corps. » Aucun des deux n’est prêt à ce qui va se passer.​​

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La jeune femme dangereuse et l’homme mûr « mettent tout sur la table » – argent, sexe, peurs, rêves. Sans remords ni excuses ! Réactions incontrôlées, provocations réciproques, conséquences imprévisibles. Et tu ris de plus en plus.

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Sans s’en rendre compte, les deux franchissent les frontières entre moral et immoral, juste et faux. Et tout cela à cause de ce désir inexplicable de se toucher vraiment. Et là, ce n’est plus seulement drôle.

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Rires et larmes, tendresse et colère ! Attends, parle-t-on d’amour ? D’un amour inacceptable et impossible ? Et si c’est le cas, sauront-ils le reconnaître ?

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L’indomptable Kerana pour la première fois sur scène !
Elle est courageuse et aime plonger dans les profondeurs. Jamais encore elle n’avait joué dans une pièce. Pourtant, elle accepte aussitôt la proposition d’Émil Markov de participer à sa mise en scène, car elle aime beaucoup le texte et l’interprétation qu’Émil lui propose.

Et lui choisit de l’inviter pour sa passion, son engagement et son charisme, qu’elle dégage déjà sur scène avec son groupe « Kerana et les Cosmonautes ».

Et puis, comme les personnages de la pièce, ils sont deux personnes très différentes, de générations distinctes, que l’on aurait du mal à imaginer avoir quoi que ce soit en commun.

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Émil Markov et Kerana – un tandem inattendu !

Avec la musique de « Kerana et les Cosmonautes ».

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La pièce est uniquement jouée en bulgare et n’est pas adaptée à un public francophone.